A toutes les femmes que j’ai aimées
/image%2F1233399%2F20151101%2Fob_dcdb5d_1907-picasso-les-demoiselles-d-avignon.jpg)
A toutes les femmes que j’ai aimées
Le paysage défilait en cavale
Et de toutes parts vous surgissiez
Moi qui me croyais inébranlable…
Lorsque la coupe est mûre
Elle espère la fin des coups durs
L’expérience de la détresse
Des ruptures passionnées
Fait gagner en sagesse
Et vous emmitoufler
Mais diable quelle sècheresse !
Vous aviez toutes percé mon cœur
Au rythme d'un train effréné
Le souvenir de cette fervente ardeur
Lorsque que je vous rejoignais
Réapparaissait sous mes yeux
Comme ce qu'il y a de plus précieux
Des étoiles filantes
Me faisant bien saisir
Disparaissant tour à tour, le vide, la perte déchirante
De nos chers instants de désir, d’incommensurable plaisir
Vous étiez ce qu’il y a de plus beau
Je vous dédie donc ces quelques mots